Prédiction – Confirmation – Numéro°71
Prédiction : « La faiblesse »
Date de confirmation : Samedi, le 22 juin 2019
Avant date d’annonciation : Jeudi, le 4 février 2016
Date d’annonciation : Jeudi, le 3 janvier 2019
Pays concerné : Allemagne
Ville : Wolfhagen-Istha
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Prédiction : « La faiblesse »
Date de confirmation : Samedi, le 22 juin 2019
Avant date d’annonciation : Jeudi, le 4 février 2016
Date d’annonciation : Jeudi, le 3 janvier 2019
Pays concerné : Allemagne
Ville : Wolfhagen-Istha
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
« Interpellation »
« L'Allemagne subira un attentat dont la cible n'est pas Madame Angela Merkel mais une personne autour d'elle politiquement »
Médium – Pascal Weber
Médium – Pascal Weber
Avant tout, il ne devrait plus être un secret que, la classe Politique Allemande est en déperdition et dont les échecs électoraux successifs (et ce n’est pas fini) ne font que, entrevoir la saturation d’une conception générale, de la part des divers partis Allemands confondus, et qui, en ce 21e siècle ne font plus que, tourner en rond. Au motif bien regrettable ceci dit, qu’ils n’ont toujours pas réalisé que leur époque à concevoir ce monde, notre monde, est « finie ». Ainsi, emmurés dans une conception archaïque, qui peut s’étonner à partir delà, rien qu’en Allemagne, qu’il en découle, et en découlera encore des répercussions multiples et diverses, et ceci, pas uniquement en Allemagne. Au motif, et en y regardant de plus près, c’est toute la vision (si on peut encore parler de vision) Européenne qui est en perdition.
Quant aux diverses prédictions formulées en ce qui concerne l’Allemagne, si j’ai accepté de formuler les lesdites prophéties, depuis décembre 2016 et dont 9 d’entre elles se sont déjà confirmées à ce jour. Celle prophétisée en date du 3 janvier 2019, intitulée : « La faiblesse », ne pouvait quant à elle, que, se concrétiser à travers une tragédie au motif que, l’actuel Ministre fédéral de l'Intérieur Allemand (Bundesinnenminister), Monsieur Horst Seehofer n’est « pas » la bonne personne capable d’occuper un poste aussi stratégique et d’une telle importance d’autant plus, directement pour l’intérêt de l’Allemagne ainsi que, pour toute l’Europe. Ceci dit, et à ne pas s’y tromper Monsieur Seehofer a sûrement d’innombrables autres compétences et qualités, et face auxquelles, ladite personne serait sûrement mieux à même de les exprimer auprès d’un tout autre Ministère Allemand que celui, auprès du Ministère fédéral de l'Intérieur, au motif d’autant plus que, Monsieur Seehofer a été personnellement interpellé de notre part, et ceci par écrit en avril 2018 et dont l’exécution de Monsieur Walter Lübcke ne fait que, révéler encore une fois, non seulement la défaillance aussi bien du Ministère fédéral de l'Intérieur Allemand, mais également du service de renseignement intérieur allemand.
Ceci dit et en attendant la faiblesse des uns (incapacité de savoir voir au-delà des horizons) comme le manque de courage des autres (ne pas savoir utiliser toutes les voies, même celles les plus, non conventionnelles), ont engendré en date du 2 juin 2019 l’exécution (et non le meurtre) de Monsieur Walter Lübcke.
A savoir que :
1) Monsieur Walter Lübcke a été « abattu » d’une balle tirée à bout portant et retrouvé dans une mare de sang le 2 juin sur la terrasse de sa maison à Wolfhagen, dans la banlieue de Cassel ;
2) Monsieur Walter Lübcke a été « exécuté » et il s’agit bien d’un « attentat Politique » (et ces prises de position de notre part sont : irrévocables);
3) L’exécution de Monsieur Walter Lübcke (le premier d’une liste de trois) « est » en du également « en partie », à la faiblesse de Madame Angela Merkel, Chancelière fédérale d'Allemagne, à ne pas savoir s’imposer des visions futuristes tout en détenant pourtant des éléments pour ce faire.
Outre, si en réaction à cette exécution Madame Angela Merkel, Chancelière Fédérale d’Allemagne reste coincée dans son illusion à croire que, ce sont des lois, des emprisonnements, des restrictions d’expressions de toutes natures… Qui, aboliront, anéantiront, détruiront une conception de haine grandissant rien que, en Allemagne. Alors, la prédiction concernant Madame Merkel, intitulée : « Madame Angela Merkel la chute », formulée à travers cinq dates d’annonciation et qui, s’est déjà confirmée à deux reprises ne pourra que, suivre son cours, en apportant sa troisième et dernière confirmation.
Médium – Pascal Weber
Quant aux diverses prédictions formulées en ce qui concerne l’Allemagne, si j’ai accepté de formuler les lesdites prophéties, depuis décembre 2016 et dont 9 d’entre elles se sont déjà confirmées à ce jour. Celle prophétisée en date du 3 janvier 2019, intitulée : « La faiblesse », ne pouvait quant à elle, que, se concrétiser à travers une tragédie au motif que, l’actuel Ministre fédéral de l'Intérieur Allemand (Bundesinnenminister), Monsieur Horst Seehofer n’est « pas » la bonne personne capable d’occuper un poste aussi stratégique et d’une telle importance d’autant plus, directement pour l’intérêt de l’Allemagne ainsi que, pour toute l’Europe. Ceci dit, et à ne pas s’y tromper Monsieur Seehofer a sûrement d’innombrables autres compétences et qualités, et face auxquelles, ladite personne serait sûrement mieux à même de les exprimer auprès d’un tout autre Ministère Allemand que celui, auprès du Ministère fédéral de l'Intérieur, au motif d’autant plus que, Monsieur Seehofer a été personnellement interpellé de notre part, et ceci par écrit en avril 2018 et dont l’exécution de Monsieur Walter Lübcke ne fait que, révéler encore une fois, non seulement la défaillance aussi bien du Ministère fédéral de l'Intérieur Allemand, mais également du service de renseignement intérieur allemand.
Ceci dit et en attendant la faiblesse des uns (incapacité de savoir voir au-delà des horizons) comme le manque de courage des autres (ne pas savoir utiliser toutes les voies, même celles les plus, non conventionnelles), ont engendré en date du 2 juin 2019 l’exécution (et non le meurtre) de Monsieur Walter Lübcke.
A savoir que :
1) Monsieur Walter Lübcke a été « abattu » d’une balle tirée à bout portant et retrouvé dans une mare de sang le 2 juin sur la terrasse de sa maison à Wolfhagen, dans la banlieue de Cassel ;
2) Monsieur Walter Lübcke a été « exécuté » et il s’agit bien d’un « attentat Politique » (et ces prises de position de notre part sont : irrévocables);
3) L’exécution de Monsieur Walter Lübcke (le premier d’une liste de trois) « est » en du également « en partie », à la faiblesse de Madame Angela Merkel, Chancelière fédérale d'Allemagne, à ne pas savoir s’imposer des visions futuristes tout en détenant pourtant des éléments pour ce faire.
Outre, si en réaction à cette exécution Madame Angela Merkel, Chancelière Fédérale d’Allemagne reste coincée dans son illusion à croire que, ce sont des lois, des emprisonnements, des restrictions d’expressions de toutes natures… Qui, aboliront, anéantiront, détruiront une conception de haine grandissant rien que, en Allemagne. Alors, la prédiction concernant Madame Merkel, intitulée : « Madame Angela Merkel la chute », formulée à travers cinq dates d’annonciation et qui, s’est déjà confirmée à deux reprises ne pourra que, suivre son cours, en apportant sa troisième et dernière confirmation.
Médium – Pascal Weber
« Allemagne – 3 janvier 2019 »
Prédiction : « La faiblesse »
L’an 2019, premier mois, du mois janvier, du troisième jour,
« Le temps comme les événements qui arrivent, expliqueront »
Médium – Pascal Weber – Jeudi, le 3 janvier 2019
Prédiction : « La faiblesse »
L’an 2019, premier mois, du mois janvier, du troisième jour,
« Le temps comme les événements qui arrivent, expliqueront »
Médium – Pascal Weber – Jeudi, le 3 janvier 2019
Extrait article quotidien français Libration (lien ci-dessus):
[…] Quand les migrants sont arrivés en masse en Allemagne à l’été 2015, Walter Lübcke avait été fidèle à la politique du «Wir schaffen das» («Nous y arriverons») d’Angela Merkel. L’élu CDU avait exhorté la population de Cassel à accueillir les réfugiés lors d’une réunion municipale. «Ceux qui ne partagent pas ces valeurs peuvent quitter le pays à tout moment s’ils ne sont pas d’accord», avait-il même déclaré, s’attirant une nuée d’injures et de menaces sur les réseaux sociaux. Il semble désormais que cette phrase lui ait coûté la vie [...]
[…] Quand les migrants sont arrivés en masse en Allemagne à l’été 2015, Walter Lübcke avait été fidèle à la politique du «Wir schaffen das» («Nous y arriverons») d’Angela Merkel. L’élu CDU avait exhorté la population de Cassel à accueillir les réfugiés lors d’une réunion municipale. «Ceux qui ne partagent pas ces valeurs peuvent quitter le pays à tout moment s’ils ne sont pas d’accord», avait-il même déclaré, s’attirant une nuée d’injures et de menaces sur les réseaux sociaux. Il semble désormais que cette phrase lui ait coûté la vie [...]
...
Ce n’est pas ladite phrase qui est le déclencheur de « l’exécution », et non le meurtre de Monsieur Walter Lübcke. Mais bien avant tout, la faiblesse de Madame Angela Merkel, Chancelière Fédérale d’Allemagne de ne pas savoir ni se remettre en question et encore moins d’être capable de concevoir que, l’Allemagne comme toute l’Europe ont besoin de visionnaires. A plus forte raison que, la génération de Madame Merkel n’a toujours pas réalisé que leur époque est finie. Par delà incapable d’avoir su anticiper de multiples dangers (rien que pour l’Allemagne), l’exécution de Monsieur Walter Lübcke n’est que, le premier d’une liste de trois.
Médium – Pascal Weber
L’Allemagne face au risque d’une terreur brune…
Editorial du « Monde ». L’Allemagne avait été stupéfaite en apprenant la mort, le 2 juin, de Walter Lübcke, préfet de l’arrondissement de Kassel (Hesse), tué d’une balle dans la tête sur sa terrasse. Sur les réseaux sociaux, plusieurs comptes proches de l’extrême droite s’étaient réjouis de la disparition de ce chrétien-démocrate de 65 ans qui, en 2015, avait résolument soutenu la politique d’accueil des réfugiés décidée par Angela Merkel. Un suspect est aujourd’hui en détention provisoire : il s’agit d’un néonazi de 45 ans déjà emprisonné dans les années 1990 pour avoir fait exploser une bombe devant un foyer d’étrangers.
Deux mois après ce drame, il apparaît clairement que ce n’était pas un simple fait divers. Selon un décompte provisoire du ministère allemand de l’intérieur, dévoilé mardi 13 août par le quotidien Der Tagesspiegel, 8 605 crimes et délits attribués à l’extrême droite, dont 363 actes violents, ont été enregistrés au premier semestre de 2019 (soit 10 % d’augmentation par rapport à 2018). Depuis la mort de Walter Lübcke, plusieurs élus locaux connus pour leur soutien aux réfugiés ont fait savoir qu’ils avaient reçu des menaces de mort.
Les violences d’extrême droite n’ont rien de nouveau outre-Rhin. L’attentat le plus meurtrier commis depuis la guerre a été perpétré par un néonazi lors de la Fête de la bière de Munich, le 26 octobre 1980 (13 morts, 211 blessés). Avant l’accueil des réfugiés en 2015, le nombre de crimes et délits politiques s’établissait déjà à plus de 5 000 par an, ce qui démontre que le phénomène a des racines plus profondes qu’une réaction à la politique d’Angela Merkel. Mais l’augmentation continue des violences prend inévitablement une dimension particulière en Allemagne, compte tenu de l’histoire du pays et de la « responsabilité » dont se réclament volontiers ses dirigeants.
Sentiment d’impunité...
Beaucoup de temps a été perdu ces dernières années. Les services de renseignement ont, à l’évidence, sous-estimé le phénomène. Quant à la justice, sa lenteur à condamner les coupables a contribué, à n’en pas douter, à donner aux bras armés de la terreur brune un dangereux sentiment d’impunité.
Par rapport à nombre de ses voisins, l’Allemagne a longtemps semblé protégée contre le retour de ses vieux démons. Cette époque est révolue. Depuis 2017, le Bundestag compte près de 100 députés d’extrême droite et, le 1er septembre, celle-ci pourrait arriver en tête lors des élections régionales en Saxe et dans le Brandebourg, deux anciens Länder de l’Est où perdure, depuis la réunification de 1990, une scène néonazie décomplexée, comme le démontre cette flambée de passages à l’acte.
Angela Merkel restera sans aucun doute comme celle qui, dans une Europe frileuse et craintive, a fait le choix de l’ouverture en laissant entrer en Allemagne près d’un million de réfugiés fuyant les guerres du Moyen-Orient. Juste au regard de l’histoire, cette décision n’en a pas moins profondément bousculé une partie de ses concitoyens, qui n’y étaient pas préparés.
« Wir schaffen das » (« nous y arriverons »), avait lancé la chancelière, le 31 août 2015, pour dire son optimisme dans la capacité de l’Allemagne à relever le défi de l’intégration. Deux ans avant la fin programmée de son quatrième et dernier mandat, il est encore temps pour elle d’aller au bout de cette ambition. Et de redire une seconde fois « Wir schaffen das », mais cette fois pour triompher d’une extrême droite dont le retour, en Allemagne, a autant voire plus qu’ailleurs des raisons d’inquiéter.
Source : https://bit.ly/2KAP0Yl
Editorial du « Monde ». L’Allemagne avait été stupéfaite en apprenant la mort, le 2 juin, de Walter Lübcke, préfet de l’arrondissement de Kassel (Hesse), tué d’une balle dans la tête sur sa terrasse. Sur les réseaux sociaux, plusieurs comptes proches de l’extrême droite s’étaient réjouis de la disparition de ce chrétien-démocrate de 65 ans qui, en 2015, avait résolument soutenu la politique d’accueil des réfugiés décidée par Angela Merkel. Un suspect est aujourd’hui en détention provisoire : il s’agit d’un néonazi de 45 ans déjà emprisonné dans les années 1990 pour avoir fait exploser une bombe devant un foyer d’étrangers.
Deux mois après ce drame, il apparaît clairement que ce n’était pas un simple fait divers. Selon un décompte provisoire du ministère allemand de l’intérieur, dévoilé mardi 13 août par le quotidien Der Tagesspiegel, 8 605 crimes et délits attribués à l’extrême droite, dont 363 actes violents, ont été enregistrés au premier semestre de 2019 (soit 10 % d’augmentation par rapport à 2018). Depuis la mort de Walter Lübcke, plusieurs élus locaux connus pour leur soutien aux réfugiés ont fait savoir qu’ils avaient reçu des menaces de mort.
Les violences d’extrême droite n’ont rien de nouveau outre-Rhin. L’attentat le plus meurtrier commis depuis la guerre a été perpétré par un néonazi lors de la Fête de la bière de Munich, le 26 octobre 1980 (13 morts, 211 blessés). Avant l’accueil des réfugiés en 2015, le nombre de crimes et délits politiques s’établissait déjà à plus de 5 000 par an, ce qui démontre que le phénomène a des racines plus profondes qu’une réaction à la politique d’Angela Merkel. Mais l’augmentation continue des violences prend inévitablement une dimension particulière en Allemagne, compte tenu de l’histoire du pays et de la « responsabilité » dont se réclament volontiers ses dirigeants.
Sentiment d’impunité...
Beaucoup de temps a été perdu ces dernières années. Les services de renseignement ont, à l’évidence, sous-estimé le phénomène. Quant à la justice, sa lenteur à condamner les coupables a contribué, à n’en pas douter, à donner aux bras armés de la terreur brune un dangereux sentiment d’impunité.
Par rapport à nombre de ses voisins, l’Allemagne a longtemps semblé protégée contre le retour de ses vieux démons. Cette époque est révolue. Depuis 2017, le Bundestag compte près de 100 députés d’extrême droite et, le 1er septembre, celle-ci pourrait arriver en tête lors des élections régionales en Saxe et dans le Brandebourg, deux anciens Länder de l’Est où perdure, depuis la réunification de 1990, une scène néonazie décomplexée, comme le démontre cette flambée de passages à l’acte.
Angela Merkel restera sans aucun doute comme celle qui, dans une Europe frileuse et craintive, a fait le choix de l’ouverture en laissant entrer en Allemagne près d’un million de réfugiés fuyant les guerres du Moyen-Orient. Juste au regard de l’histoire, cette décision n’en a pas moins profondément bousculé une partie de ses concitoyens, qui n’y étaient pas préparés.
« Wir schaffen das » (« nous y arriverons »), avait lancé la chancelière, le 31 août 2015, pour dire son optimisme dans la capacité de l’Allemagne à relever le défi de l’intégration. Deux ans avant la fin programmée de son quatrième et dernier mandat, il est encore temps pour elle d’aller au bout de cette ambition. Et de redire une seconde fois « Wir schaffen das », mais cette fois pour triompher d’une extrême droite dont le retour, en Allemagne, a autant voire plus qu’ailleurs des raisons d’inquiéter.
Source : https://bit.ly/2KAP0Yl
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