Prédiction – Confirmation – Numéro°45
Prédiction : « Angela Merkel – La chute »
Date de confirmation : Dimanche, le 28 octobre 2018
Date d’annonciation : Vendredi, le 29 juin 2018
Pays concerné : Allemagne
Ville : Mme Angela Merkel – Allemagne Scrutin – 28-10-2018 – Scrutin régional en Hesse : Nouveau revers électoral pour la CDU de Merkel
Nombre de date : 5 dates d’annonciation
Prédiction : « Angela Merkel – La chute »
Date de confirmation : Dimanche, le 28 octobre 2018
Date d’annonciation : Vendredi, le 29 juin 2018
Pays concerné : Allemagne
Ville : Mme Angela Merkel – Allemagne Scrutin – 28-10-2018 – Scrutin régional en Hesse : Nouveau revers électoral pour la CDU de Merkel
Nombre de date : 5 dates d’annonciation
- Première date d’annonciation : Vendredi, le 29 juin 2018,
- Deuxième date d’annonciation : Vendredi, le 29 juin 2018 (deuxième message)
- Troisième date d’annonciation : Samedi, le 30 juin 2018
- Quatrième date d’annonciation : Mardi, le 3 juillet 2018
- Cinquième date d’annonciation : Mercredi, le 5 juillet 2018
Il n’est pas rare, qu’une prédiction formulée puisse renfermer plusieurs événements ce qui implique, qu’il peut avoir plusieurs confirmations à travers la même prédiction.
J - 3 mois avant les élections régionales…
Juin 2018, sans le savoir, cette prédiction intitulée « Madame Angela Merkel la chute », qui fut formulée et scellée à travers une première date d’annonciation le 29 juin 2018, est déjà clôturée et les événements qui suivront, ne feront que, de le confirmer. Outre, hormis la prédiction en elle-même, c’est le message médiumnique formulé et diffusé en date du 29 juin 2018 : « Vous avez Madame Angela Merkel ... échoué... » Message qui, à travers sa formulation révèle déjà une réalité face à laquelle, en ce qui me concerne personnellement et comme tout à chacun, il me faudra également attendre des éléments plus terre à terre pour apporter plus de clarté dans cette prédiction ainsi que, sa confirmation.
Elections régionales : Angela Merkel, une dernière défaite avant la chute ?
La nouvelle défaite de la coalition d’Angela Merkel dans l’État-région de Hesse met la chancelière en grand danger.
Angela Merkel peut-elle encore décemment rester chancelière ? C’est la question qui se pose après la nouvelle débâcle électorale enregistrée par son parti, la CDU (Union démocrate-chrétienne), en Hesse, ce dimanche. Le scrutin a vu les deux partis de son gouvernement perdre plus de dix points… chacun.
C’est la défaite de trop qui pourrait coûter son poste à Merkel dans les prochaines semaines. Car rarement une élection régionale n’avait été autant influencée par la politique nationale. La crise des réfugiés a complètement changé la donne en Allemagne. Avant la décision de Merkel d’accueillir en 2015 les migrants syriens bloqués en Hongrie, les conservateurs atteignaient des scores supérieurs à 40 %. Aujourd’hui, le parti dirigé par la chancelière depuis près de vingt ans est crédité de 25 %.
Merkel, en poste depuis treize ans, n’a jamais été dans une telle position de faiblesse. Fin septembre, elle avait déjà été désavouée par ses propres députés qui avaient refusé la reconduction de son plus fidèle lieutenant à la présidence de leur groupe parlementaire. Cette décision – surprise – a confirmé sa perte d’autorité sur le parti. Début décembre, elle se représentera pourtant bien à la tête du Parti chrétien-démocrate (CDU) au congrès de Hambourg. Or, sa réélection est loin d’être assurée, le désir de changement grandit dans les rangs du parti.
Les sociaux-démocrates menacent de jeter l’éponge…
Annegret Kramp-Karrenbauer, la secrétaire générale de la CDU et dauphine de Merkel, a comparé la situation de la chancelière à celle de Gerhard Schröder en 2005. Les réformes libérales de l’ancien chancelier social-démocrate avaient mis fin à sa carrière politique. « On peut mettre en parallèle la politique des réfugiés de Merkel avec celle des réformes Schröder », a-t-elle analysé, n’excluant pas, par ailleurs, qu’il y ait des élections fédérales anticipées. Elections auxquelles la chancelière ne survivrait pas.
Mais la fin de l’ère Merkel dépend surtout du Parti social-démocrate (SPD), membre de son gouvernement de coalition, qui poursuit, lui aussi, sa descente aux enfers à l’instar du Parti socialiste français. Le grand parti de la gauche traditionnelle allemande est passé en Hesse sous la barre des 20 % alors qu’il atteignait autrefois presque 40 % dans cette région. Les militants sociaux-démocrates estimant que la poursuite d’une alliance avec Merkel est suicidaire. Les sociaux-démocrates ont menacé une fois de plus ce dimanche soir de jeter l’éponge. « L’état dans lequel se trouve le gouvernement est inacceptable », a critiqué Andrea Nahles, la présidente du SPD, critiquant les querelles qui minent la coalition sur la politique migratoire.
Le mécontentement des électeurs profite aux autres formations, notamment aux écologistes qui poursuivent une série de succès électoraux impressionnants. Ils sont pratiquement parvenus à doubler leur score de 2013 avec près de 20 % des voix. Avec de tels résultats, les Verts allemands rêvent déjà de conquérir la chancellerie à Berlin. Quant à l’extrême droite, elle achève son implantation politique dans les parlements régionaux allemands. La Hesse était le dernier « Land » où l’AFD (Alternative pour l’Allemagne) n’était pas encore représentée. C’est désormais le cas.
Source : https://bit.ly/2qlTHdV
Angela Merkel peut-elle encore décemment rester chancelière ? C’est la question qui se pose après la nouvelle débâcle électorale enregistrée par son parti, la CDU (Union démocrate-chrétienne), en Hesse, ce dimanche. Le scrutin a vu les deux partis de son gouvernement perdre plus de dix points… chacun.
C’est la défaite de trop qui pourrait coûter son poste à Merkel dans les prochaines semaines. Car rarement une élection régionale n’avait été autant influencée par la politique nationale. La crise des réfugiés a complètement changé la donne en Allemagne. Avant la décision de Merkel d’accueillir en 2015 les migrants syriens bloqués en Hongrie, les conservateurs atteignaient des scores supérieurs à 40 %. Aujourd’hui, le parti dirigé par la chancelière depuis près de vingt ans est crédité de 25 %.
Merkel, en poste depuis treize ans, n’a jamais été dans une telle position de faiblesse. Fin septembre, elle avait déjà été désavouée par ses propres députés qui avaient refusé la reconduction de son plus fidèle lieutenant à la présidence de leur groupe parlementaire. Cette décision – surprise – a confirmé sa perte d’autorité sur le parti. Début décembre, elle se représentera pourtant bien à la tête du Parti chrétien-démocrate (CDU) au congrès de Hambourg. Or, sa réélection est loin d’être assurée, le désir de changement grandit dans les rangs du parti.
Les sociaux-démocrates menacent de jeter l’éponge…
Annegret Kramp-Karrenbauer, la secrétaire générale de la CDU et dauphine de Merkel, a comparé la situation de la chancelière à celle de Gerhard Schröder en 2005. Les réformes libérales de l’ancien chancelier social-démocrate avaient mis fin à sa carrière politique. « On peut mettre en parallèle la politique des réfugiés de Merkel avec celle des réformes Schröder », a-t-elle analysé, n’excluant pas, par ailleurs, qu’il y ait des élections fédérales anticipées. Elections auxquelles la chancelière ne survivrait pas.
Mais la fin de l’ère Merkel dépend surtout du Parti social-démocrate (SPD), membre de son gouvernement de coalition, qui poursuit, lui aussi, sa descente aux enfers à l’instar du Parti socialiste français. Le grand parti de la gauche traditionnelle allemande est passé en Hesse sous la barre des 20 % alors qu’il atteignait autrefois presque 40 % dans cette région. Les militants sociaux-démocrates estimant que la poursuite d’une alliance avec Merkel est suicidaire. Les sociaux-démocrates ont menacé une fois de plus ce dimanche soir de jeter l’éponge. « L’état dans lequel se trouve le gouvernement est inacceptable », a critiqué Andrea Nahles, la présidente du SPD, critiquant les querelles qui minent la coalition sur la politique migratoire.
Le mécontentement des électeurs profite aux autres formations, notamment aux écologistes qui poursuivent une série de succès électoraux impressionnants. Ils sont pratiquement parvenus à doubler leur score de 2013 avec près de 20 % des voix. Avec de tels résultats, les Verts allemands rêvent déjà de conquérir la chancellerie à Berlin. Quant à l’extrême droite, elle achève son implantation politique dans les parlements régionaux allemands. La Hesse était le dernier « Land » où l’AFD (Alternative pour l’Allemagne) n’était pas encore représentée. C’est désormais le cas.
Source : https://bit.ly/2qlTHdV
« Prédiction en format PDF »
Prédiction – Confirmation – Numéro°47
Allemagne – Berlin – Lundi, le 29 octobre 2019
Merkel renoncer à la présidence…
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Prédiction – Confirmation – Numéro°47
Allemagne – Berlin – Lundi, le 29 octobre 2019
La nouvelle, désormais officielle, a fait le tour d’Europe en un clin d’œil : Angela Merkel prépare son départ. La chancelière en a précisé les détails lors d’une conférence de presse tenue le 29 octobre 2018.
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Prédiction – Confirmation – Numéro°118
Allemagne – Elections – Dimanche, le 26 septembre 2021
Elections en Allemagne : le SPD vainqueur, la CDU en déroute...
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