Prédiction – Confirmation – Numéro°41
Prédiction : « 1/13 »
Date de confirmation : Mardi, le 11 septembre 2018
Date d’annonciation : Dimanche, le 8 juillet 2018
Pays concerné : France
Ville : Montauban Arrestation jeune de 16 ans
Nombre de date : 1 date d’annonciation
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Prédiction : « 1/13 »
Date de confirmation : Mardi, le 11 septembre 2018
Date d’annonciation : Dimanche, le 8 juillet 2018
Pays concerné : France
Ville : Montauban Arrestation jeune de 16 ans
Nombre de date : 1 date d’annonciation
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
« Les âmes égarées »
« Première confirmation »
L’an 2018, septième mois, du mois juillet, du huitième jour,
« Il ne peut être espéré que, sur le sol dit de l’Europe, que la sagesse prévaut les préjugés, afin dans l’impératif, mettre en place un programme permettant aux institutions écolières, d’identifier les signes précurseurs qui annonceront l’attaque au sein de leurs établissements, de la part d’âmes manipulées sous la vision d’une religion usurpée. »
Médium – Pascal Weber – Allemagne – Dimanche, le 8 juillet 2018
« Il ne peut être espéré que, sur le sol dit de l’Europe, que la sagesse prévaut les préjugés, afin dans l’impératif, mettre en place un programme permettant aux institutions écolières, d’identifier les signes précurseurs qui annonceront l’attaque au sein de leurs établissements, de la part d’âmes manipulées sous la vision d’une religion usurpée. »
Médium – Pascal Weber – Allemagne – Dimanche, le 8 juillet 2018
Côté technique :
Cette prédiction est formulée par une seule date d’annonciation à savoir :
- Dimanche, le 8 juillet 2018.
– Vendredi, 14 septembre 2018 –
L’histoire commence déjà mal, je n’ai même encore terminé de formuler le lot, de 13 nouvelles prédictions, que deux de celles-ci, se sont déjà confirmées entre temps. Quant au titre de la prédiction « Les âmes égarées » et son texte de formulation :
« Il ne peut être espéré que, sur le sol dit de l’Europe, que la sagesse prévaut les préjugés, afin dans l’impératif, mettre en place un programme permettant aux institutions écolières, d’identifier les signes précurseurs qui annonceront l’attaque au sein de leurs établissements, de la part d’âmes manipulées sous la vision d’une religion usurpée. »
Le titre comme le texte de formulation de ladite prédiction, ne laissent tous deux, pas le moindre doute que, l’Etat Islamique comme ses combattants sur le sol Européen, veulent s’en prendre à une institution écolière en Europe et il serait toutefois trop hâtif de sabrer le champagne, en due, par l’arrestation en France (Montauban) d’un mineur qui a fait allégeance à Daech.
Ceci dit, en attendant le côté positif et que, les Autorités Françaises ont su stopper à temps ce mineur. Mais… rien n’est pour autant terminé, car si la prédiction s’est bien confirmée, elle concernait toutefois dés le départ, toute l’Europe. Ainsi par l’arrestation de ce mineur, en France, ladite prédiction n’en est pas pour autant clôturée. Ce qui implique que, ladite prédiction : « Les âmes égarées » est, et reste d’actualité.
Médium – Pascal Weber – 14 septembre 2018
L’histoire commence déjà mal, je n’ai même encore terminé de formuler le lot, de 13 nouvelles prédictions, que deux de celles-ci, se sont déjà confirmées entre temps. Quant au titre de la prédiction « Les âmes égarées » et son texte de formulation :
« Il ne peut être espéré que, sur le sol dit de l’Europe, que la sagesse prévaut les préjugés, afin dans l’impératif, mettre en place un programme permettant aux institutions écolières, d’identifier les signes précurseurs qui annonceront l’attaque au sein de leurs établissements, de la part d’âmes manipulées sous la vision d’une religion usurpée. »
Le titre comme le texte de formulation de ladite prédiction, ne laissent tous deux, pas le moindre doute que, l’Etat Islamique comme ses combattants sur le sol Européen, veulent s’en prendre à une institution écolière en Europe et il serait toutefois trop hâtif de sabrer le champagne, en due, par l’arrestation en France (Montauban) d’un mineur qui a fait allégeance à Daech.
Ceci dit, en attendant le côté positif et que, les Autorités Françaises ont su stopper à temps ce mineur. Mais… rien n’est pour autant terminé, car si la prédiction s’est bien confirmée, elle concernait toutefois dés le départ, toute l’Europe. Ainsi par l’arrestation de ce mineur, en France, ladite prédiction n’en est pas pour autant clôturée. Ce qui implique que, ladite prédiction : « Les âmes égarées » est, et reste d’actualité.
Médium – Pascal Weber – 14 septembre 2018
– Mardi, le 11 septembre 2018 –
Un jeune collégien de 3ème qui a fait allégeance à Daech arrêté à Montauban…
Deux personnes dont un mineur ont été interpellées ce mardi matin à l'aube à Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, et à Béziers, dans l'Hérault, dans le cadre d'une enquête préliminaire pour association de malfaiteurs dans le cadre d'une entreprise terroriste.
Des perquisitions ont été effectuées aux domiciles de ces deux personnes qui avaient exprimé leur désir de rejoindre une terre de jihad sur les réseaux sociaux.
Il s'était filmé, habillé en combattant…
Le jeune garçon interpellé à Montauban, qui est de nationalité russe et d'origine Tchétchène aurait fait allégeance à Daech : il s'était notamment filmé, habillé en combattant, et avait expliqué dans cette vidéo qu'il avait posté sur les réseaux sociaux son souhait de rejoindre les rangs de l'Etat Islamique.
Son arrestation s'est déroulée à 6 heures du matin aux abords de la rue Lafayette à Montauban. Elle a été menée par des policiers de la DGSI, la Direction générale de la sécurité intérieure, qui venaient de Paris et des agents du RAID. Pendant plus d'une heure, la douzaine de policiers présent sur les lieux a fouillé l'appartement familial de fond en comble et a saisi tout le matériel informatique.
L'appartement de Montauban où a été interpellé le collégien ayant fait allégeance à Daech (Photo DDM, Manon Bricard).
Deux personnes dont un mineur ont été interpellées ce mardi matin à l'aube à Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, et à Béziers, dans l'Hérault, dans le cadre d'une enquête préliminaire pour association de malfaiteurs dans le cadre d'une entreprise terroriste.
Des perquisitions ont été effectuées aux domiciles de ces deux personnes qui avaient exprimé leur désir de rejoindre une terre de jihad sur les réseaux sociaux.
Il s'était filmé, habillé en combattant…
Le jeune garçon interpellé à Montauban, qui est de nationalité russe et d'origine Tchétchène aurait fait allégeance à Daech : il s'était notamment filmé, habillé en combattant, et avait expliqué dans cette vidéo qu'il avait posté sur les réseaux sociaux son souhait de rejoindre les rangs de l'Etat Islamique.
Son arrestation s'est déroulée à 6 heures du matin aux abords de la rue Lafayette à Montauban. Elle a été menée par des policiers de la DGSI, la Direction générale de la sécurité intérieure, qui venaient de Paris et des agents du RAID. Pendant plus d'une heure, la douzaine de policiers présent sur les lieux a fouillé l'appartement familial de fond en comble et a saisi tout le matériel informatique.
L'appartement de Montauban où a été interpellé le collégien ayant fait allégeance à Daech (Photo DDM, Manon Bricard).
Scolarisé en classe de 3ème à Montauban...
Le jeune garçon, qui est scolarisé en classe de 3ème au collège Ingres à Montauban, a ensuite été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat de Toulouse où il se trouve toujours ce mardi après-midi.
Ses parents, qui n'ont pas été interpellés, se sont eux rendus de leur côté au commissariat de Toulouse.
Le second homme interpellé à Béziers est lui aussi d'origine tchétchène, mais son âge n'a pas été précisé.
Source : https://bit.ly/2CMcqbv
Le jeune garçon, qui est scolarisé en classe de 3ème au collège Ingres à Montauban, a ensuite été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat de Toulouse où il se trouve toujours ce mardi après-midi.
Ses parents, qui n'ont pas été interpellés, se sont eux rendus de leur côté au commissariat de Toulouse.
Le second homme interpellé à Béziers est lui aussi d'origine tchétchène, mais son âge n'a pas été précisé.
Source : https://bit.ly/2CMcqbv
Suite – Jeudi, le 13 septembre 2018
Le collégien montalbanais arrêté était fiché S et voulait rejoindre l'Afghanistan…
L'adolescent, scolarisé en classe de troisième au collège Ingres, à Montauban est toujours en garde à vue au commissariat de Toulouse où il est entendu, depuis mardi, par les enquêteurs chargés de l'antiterrorisme.
L'adolescent, scolarisé en classe de troisième au collège Ingres, à Montauban est toujours en garde à vue au commissariat de Toulouse où il est entendu, depuis mardi, par les enquêteurs chargés de l'antiterrorisme.
Il était surveillé depuis un an comme du lait sur le feu. Et pourtant, cela n'a pas empêché le collégien de 16 ans, interpellé, mardi matin, au domicile de ses parents, à Montauban de poster sur les réseaux sociaux, de nouvelles images de lui, habillé en combattant, expliquant son souhait de rejoindre l'Afghanistan pour prendre part au djihad. L'élève qui double cette année sa troisième au collège Ingres, à Montauban, est toujours en garde à vue, au commissariat de Toulouse, dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste. L'affaire est pilotée par le parquet antiterroriste de Paris. En matière de terrorisme, la garde à vue peut durer ainsi quatre jours.
Les investigations des enquêteurs de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) se concentrent aujourd'hui sur les velléités réelles de départ du suspect dans la zone afghane. Lors de ses premières auditions, l'adolescent a expliqué qu'il envisageait de partir, en voiture, au mois d'octobre ou novembre. A le croire, son plan était déjà bien ficelé. Mais les spécialistes de l'antiterrorisme doutent. Et le soupçonnent de vouloir brouiller une nouvelle fois les pistes pour dissimuler un autre projet : commettre une attaque djihadiste, ici, dans la région, ou, ailleurs en France.
En tout état de cause, le jeune montalbanais interpellé mardi par les hommes de la DGSI, venus spécialement de Paris, était déjà bien connu des services de l'antiterrorisme.
Il révèle lui-même sa radicalisation…
Depuis environ un an, il était fiché S dans le Tarn-et-Garonne (ils sont plus d'une centaine dans le département, actuellement). Il aurait, lui-même révélé sa radicalisation à un membre du personnel du collège, en racontant qu'il s'était fait enrôler sur les réseaux sociaux. Le principal avait aussitôt donné l'alerte. Dans cet l'établissement de près de 1 000 élèves, personne n'avait noté, autrement, de changement de comportement, d'agressivité particulière chez cet élève décrit comme «tranquille et plutôt respectueux.»
Toujours est-il que les autorités veillaient. «Ce jeune était dans nos faisceaux depuis un an, il y est resté jusqu'au bout. La preuve, avec l'arrestation de mardi», a indiqué un responsable du groupe d'évaluation départemental (GED) qui se réunit, une fois par semaine, autour du préfet pour évoquer ces cas au plus près de leur lieu d'habitation.
Un second individu majeur celui-là, interpellé le même jour à Béziers et d'origine aussi tchétchène était toujours en garde à vue hier soir. Selon nos informations, une troisième arrestation aurait eu lieu, hier, dans le cadre de cette affaire.
Au collège…
Hier matin, Philippe Prat, principal du collège Ingres s'est rendu en salle des professeurs pour confirmer que le collégien interpellé la veille à Montauban, était bien scolarisé au sein de l'établissement, en classe de troisième. Sans autre information. Les enseignants interrogés disent n'avoir jamais été amenés à faire de signalement pour radicalisation.
De leur côté, les parents étaient partagés à la sortie du collège. «Je pense que l'on devrait être mieux informé sur ce qui se passe réellement. Ce n'est pas rien, quand même», indique cette mère d'une élève de cinquième. «Il faut faire confiance au travail de surveillance qui est mené dans le cadre de la lutte antiterrosiste. Il ne s'agit pas non plus d'affoler tout le monde», dit ce père d'un troisième.
Source : https://bit.ly/2xdBxOk
Les investigations des enquêteurs de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) se concentrent aujourd'hui sur les velléités réelles de départ du suspect dans la zone afghane. Lors de ses premières auditions, l'adolescent a expliqué qu'il envisageait de partir, en voiture, au mois d'octobre ou novembre. A le croire, son plan était déjà bien ficelé. Mais les spécialistes de l'antiterrorisme doutent. Et le soupçonnent de vouloir brouiller une nouvelle fois les pistes pour dissimuler un autre projet : commettre une attaque djihadiste, ici, dans la région, ou, ailleurs en France.
En tout état de cause, le jeune montalbanais interpellé mardi par les hommes de la DGSI, venus spécialement de Paris, était déjà bien connu des services de l'antiterrorisme.
Il révèle lui-même sa radicalisation…
Depuis environ un an, il était fiché S dans le Tarn-et-Garonne (ils sont plus d'une centaine dans le département, actuellement). Il aurait, lui-même révélé sa radicalisation à un membre du personnel du collège, en racontant qu'il s'était fait enrôler sur les réseaux sociaux. Le principal avait aussitôt donné l'alerte. Dans cet l'établissement de près de 1 000 élèves, personne n'avait noté, autrement, de changement de comportement, d'agressivité particulière chez cet élève décrit comme «tranquille et plutôt respectueux.»
Toujours est-il que les autorités veillaient. «Ce jeune était dans nos faisceaux depuis un an, il y est resté jusqu'au bout. La preuve, avec l'arrestation de mardi», a indiqué un responsable du groupe d'évaluation départemental (GED) qui se réunit, une fois par semaine, autour du préfet pour évoquer ces cas au plus près de leur lieu d'habitation.
Un second individu majeur celui-là, interpellé le même jour à Béziers et d'origine aussi tchétchène était toujours en garde à vue hier soir. Selon nos informations, une troisième arrestation aurait eu lieu, hier, dans le cadre de cette affaire.
Au collège…
Hier matin, Philippe Prat, principal du collège Ingres s'est rendu en salle des professeurs pour confirmer que le collégien interpellé la veille à Montauban, était bien scolarisé au sein de l'établissement, en classe de troisième. Sans autre information. Les enseignants interrogés disent n'avoir jamais été amenés à faire de signalement pour radicalisation.
De leur côté, les parents étaient partagés à la sortie du collège. «Je pense que l'on devrait être mieux informé sur ce qui se passe réellement. Ce n'est pas rien, quand même», indique cette mère d'une élève de cinquième. «Il faut faire confiance au travail de surveillance qui est mené dans le cadre de la lutte antiterrosiste. Il ne s'agit pas non plus d'affoler tout le monde», dit ce père d'un troisième.
Source : https://bit.ly/2xdBxOk
« Deuxième confirmation »