Prédiction – Confirmation – Numéro°35
Prédiction : « Deuil national »
Date de confirmation : Vendredi, le 23 mars 2018
Date d’annonciation : Lundi, 3 juillet 2017
Pays concerné : France
Ville : Trèbes
Nombre de date : 1 date d’annonciation
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Prédiction : « Deuil national »
Date de confirmation : Vendredi, le 23 mars 2018
Date d’annonciation : Lundi, 3 juillet 2017
Pays concerné : France
Ville : Trèbes
Nombre de date : 1 date d’annonciation
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Phase : « 1 »
Phase : « 2 »
J - 7 - Mois avant l’attentat …
Cherchez l’erreur !
Pragmatisme : Doctrine selon laquelle n'est vrai que ce qui fonctionne réellement...
Nous sommes juillet 2017, je suis à nouveau interpellé en tant que médium d’effectuer une prophétie en ce qui concerne la France. Cette prophétie, la trentième et les événements que la France va à nouveau subir, sont inévitables, car pour ce faire, faudrait-il déjà qu’il y ait en France, quelqu’un qui soit apte à être compétent de dépasser ses convictions personnelles en lien avec la médiumnité. Face à laquelle la France a pourtant un passé historique et pas des moindres … mais enfin.
Outre, les attentats du 23 mars 2018 à Trèbes dans la région d’Aude en France sont à ce jour, la trente-deuxième prédiction qui se confirme sur les 35 prédictions déjà formulées à ce jour.
Pragmatisme : Doctrine selon laquelle n'est vrai que ce qui fonctionne réellement...
Nous sommes juillet 2017, je suis à nouveau interpellé en tant que médium d’effectuer une prophétie en ce qui concerne la France. Cette prophétie, la trentième et les événements que la France va à nouveau subir, sont inévitables, car pour ce faire, faudrait-il déjà qu’il y ait en France, quelqu’un qui soit apte à être compétent de dépasser ses convictions personnelles en lien avec la médiumnité. Face à laquelle la France a pourtant un passé historique et pas des moindres … mais enfin.
Outre, les attentats du 23 mars 2018 à Trèbes dans la région d’Aude en France sont à ce jour, la trente-deuxième prédiction qui se confirme sur les 35 prédictions déjà formulées à ce jour.
Phase : « 3 »
J - 7 - Mois avant l’attentat …
L’an 2017, septième mois, du mois juillet, du troisième jour,
« France juillet 2017, si la prochaine agression, attentat aboutissent contre les hommes et les femmes de défense sur la province dite, de la France, il en engendra un jour de deuil national pour le peuple Français. »
Médium – Pascal Weber – 3 juillet 2017
« France juillet 2017, si la prochaine agression, attentat aboutissent contre les hommes et les femmes de défense sur la province dite, de la France, il en engendra un jour de deuil national pour le peuple Français. »
Médium – Pascal Weber – 3 juillet 2017
« Lieutenant-colonel Arnaud Beltrame »
Un «hommage national» sera rendu à Arnaud Beltrame : portrait d’un gendarme d'exception..
Le lieutenant-colonel de gendarmerie est décédé dans la nuit de vendredi à samedi après avoir pris la place de Julie, une employée du Super U de Trèbes (Aude) où un terroriste a fait feu sur lui à plusieurs reprises.
Il a essuyé le tir d’au moins quatre balles du terroriste. Entre la vie et la mort depuis la terrible attaque du supermarché de Trèbes (Aude) vendredi midi, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, 44 ans, a succombé dans la nuit à ses blessures. Le commandant en second du groupement des gendarmes de l’Aude s’était proposé comme otage volontaire pour obtenir la libération d’une femme retenue par le terroriste avec d’autres clients et employés du centre commercial.
L’officier de gendarmerie est devenu un héros, salué par l’hommage du président de la République et ce samedi par Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, qui a annoncé son décès sur Twitter : « Jamais la France n’oubliera son héroïsme, sa bravoure, son sacrifice ». Pour preuve, l’Elysée a annoncé quelques heures après sa mort qu’un hommage national serait rendu à Arnaud Beltrame. Lui qui devait se marier en juin, avec Marielle, mais son union religieuse a dû être célébrée à l’hôpital.
« Un gars solide. Il a, comme on dit dans notre jargon, une caisse de malade. Un potentiel sportif énorme », se souvient ce camarade de promotion l’Ecole militaire inter-armes (EMIA) dont Arnaud Beltrame avait réussi le concours en 2001. Il en était d’ailleurs le major.
«Un homme svelte, grand et sec, un vrai sportif»
« A la course à pied, il est l’un des meilleurs. C’est un homme psychologiquement fiable, svelte, grand et sec, un vrai sportif », continue cet officier de gendarmerie. Arnaud Beltrame a commencé sa carrière dans l’armée de terre en 1996 au 8e Régiment d’artillerie de Commercy (Meuse) comme officier de réserve en situation d’activité (ORSA). C’est là qu’il devient aspirant, sous-lieutenant et lieutenant. En 1997, il passe son brevet commando au fort de Givet dans les Ardennes. Une épreuve redoutable. Puis à la fin de son contrat provisoire, les contrats à durée déterminée de l’armée, propres aux Orsa, ce Breton d’adoption originaire d’Etampes (Essonne) a choisi de rester dans la vie militaire et passe le concours de l’Emia pour faire carrière dans l’armée.
«C’est un frère»
A l’issue de sa formation, il préfère entrer « en gendarmerie comme on entre dans les ordres » en 2002, raconte un de ses patrons. « Il était différent. Il bûchait ses cours quand nous, on s’amusait. Il était totalement investi dans sa mission. Il avait foi dans son métier de militaire et de gendarme. Ce qu’il a fait ne m’étonne pas. Il a mis en pratique ce qu’il a appris au cours de sa carrière », se souvient son camarade de l’Emia, lui aussi officier de gendarmerie. Et là encore à l’Ecole des officiers de gendarmerie, il est le meilleur : major de promo en 2002.
Comme tout officier de gendarmerie qui débute, il passe par « la mobile » très formatrice pour les jeunes officiers. Et se retrouve au groupement blindé de gendarmerie mobile de Satory (Yvelines) en 2003 où il côtoie celui qui deviendra l’un des plus jeunes colonels de France. « C’est un frère et un frère d’arme aussi. Et en ce moment je pense à lui et à sa famille. Nous sommes tous touchés », glisse ce très jeune officier supérieur visiblement ému.
Mais le jeune capitaine en veut. Il rêve d’être un as. Il le sera. Il est admis en 2003 à l’Escadron parachutiste d’intervention de la gendarmerie nationale (EPIGN), une unité restructurée en 2007 et intégrée au GIGN. Il devient chuteur opérationnel, ces parachutistes de l’impossible capables de sauter à haute altitude et de voler pendant des dizaines de kilomètres. En 2005, Arnaud Beltrame est muté en Irak, comme chef de détachement, où il mène des opérations de récupérations de ressortissants français. Ce qui lui vaudra la croix de la Valeur militaire avec citation à l’ordre de la brigade.
«Concours de l’Ecole de guerre»
Puis c’est le tour des mutations obligatoires pour prendre des galons, il rejoint alors la compagnie d’Avranches (Manche) entre 2010 et 2014 où il obtient ses barrettes de chef d’escadron. Commander une compagnie c’est le passage obligé pour être un officier reconnu. Il tente alors le redoutable concours de l’Ecole de guerre qui forme les futurs hauts cadres de l’armée. C’est son seul échec, il sera recalé à l’oral. Mais cela ne l’empêche pas de progresser encore. En 2012, il obtient la médaille du Mérite national.
Et devient officier de liaison au sein du ministère de l’Ecologie. Là, il est chargé de suivre les crimes environnementaux pour le ministre. Il est nommé lieutenant-colonel en 2016. Avant de reprendre une nouvelle affectation sur le terrain dans l’Aude, en 2017, comme officier adjoint de commandement, dans le jargon, il était le « C2 » des gendarmes du département.
Réputé calme, discret, le lieutenant-colonel Beltrame avait organisé fin décembre une simulation d’attaque terroriste dans un centre commercial de Carcassonne. Comme une prémonition. A l’époque, les tirs avaient été simulés avec des paintballs. Mais pas cette fois. « Il est mort dans sa passion », résume Daniel Cerdan, figure emblématique du GIGN. « Il incarne à la perfection la devise de son école : le travail pour loi, l’honneur comme guide », retient ce général.
Source : leparisien.fr / https://bit.ly/2pDMOU
Un «hommage national» sera rendu à Arnaud Beltrame : portrait d’un gendarme d'exception..
Le lieutenant-colonel de gendarmerie est décédé dans la nuit de vendredi à samedi après avoir pris la place de Julie, une employée du Super U de Trèbes (Aude) où un terroriste a fait feu sur lui à plusieurs reprises.
Il a essuyé le tir d’au moins quatre balles du terroriste. Entre la vie et la mort depuis la terrible attaque du supermarché de Trèbes (Aude) vendredi midi, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, 44 ans, a succombé dans la nuit à ses blessures. Le commandant en second du groupement des gendarmes de l’Aude s’était proposé comme otage volontaire pour obtenir la libération d’une femme retenue par le terroriste avec d’autres clients et employés du centre commercial.
L’officier de gendarmerie est devenu un héros, salué par l’hommage du président de la République et ce samedi par Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, qui a annoncé son décès sur Twitter : « Jamais la France n’oubliera son héroïsme, sa bravoure, son sacrifice ». Pour preuve, l’Elysée a annoncé quelques heures après sa mort qu’un hommage national serait rendu à Arnaud Beltrame. Lui qui devait se marier en juin, avec Marielle, mais son union religieuse a dû être célébrée à l’hôpital.
« Un gars solide. Il a, comme on dit dans notre jargon, une caisse de malade. Un potentiel sportif énorme », se souvient ce camarade de promotion l’Ecole militaire inter-armes (EMIA) dont Arnaud Beltrame avait réussi le concours en 2001. Il en était d’ailleurs le major.
«Un homme svelte, grand et sec, un vrai sportif»
« A la course à pied, il est l’un des meilleurs. C’est un homme psychologiquement fiable, svelte, grand et sec, un vrai sportif », continue cet officier de gendarmerie. Arnaud Beltrame a commencé sa carrière dans l’armée de terre en 1996 au 8e Régiment d’artillerie de Commercy (Meuse) comme officier de réserve en situation d’activité (ORSA). C’est là qu’il devient aspirant, sous-lieutenant et lieutenant. En 1997, il passe son brevet commando au fort de Givet dans les Ardennes. Une épreuve redoutable. Puis à la fin de son contrat provisoire, les contrats à durée déterminée de l’armée, propres aux Orsa, ce Breton d’adoption originaire d’Etampes (Essonne) a choisi de rester dans la vie militaire et passe le concours de l’Emia pour faire carrière dans l’armée.
«C’est un frère»
A l’issue de sa formation, il préfère entrer « en gendarmerie comme on entre dans les ordres » en 2002, raconte un de ses patrons. « Il était différent. Il bûchait ses cours quand nous, on s’amusait. Il était totalement investi dans sa mission. Il avait foi dans son métier de militaire et de gendarme. Ce qu’il a fait ne m’étonne pas. Il a mis en pratique ce qu’il a appris au cours de sa carrière », se souvient son camarade de l’Emia, lui aussi officier de gendarmerie. Et là encore à l’Ecole des officiers de gendarmerie, il est le meilleur : major de promo en 2002.
Comme tout officier de gendarmerie qui débute, il passe par « la mobile » très formatrice pour les jeunes officiers. Et se retrouve au groupement blindé de gendarmerie mobile de Satory (Yvelines) en 2003 où il côtoie celui qui deviendra l’un des plus jeunes colonels de France. « C’est un frère et un frère d’arme aussi. Et en ce moment je pense à lui et à sa famille. Nous sommes tous touchés », glisse ce très jeune officier supérieur visiblement ému.
Mais le jeune capitaine en veut. Il rêve d’être un as. Il le sera. Il est admis en 2003 à l’Escadron parachutiste d’intervention de la gendarmerie nationale (EPIGN), une unité restructurée en 2007 et intégrée au GIGN. Il devient chuteur opérationnel, ces parachutistes de l’impossible capables de sauter à haute altitude et de voler pendant des dizaines de kilomètres. En 2005, Arnaud Beltrame est muté en Irak, comme chef de détachement, où il mène des opérations de récupérations de ressortissants français. Ce qui lui vaudra la croix de la Valeur militaire avec citation à l’ordre de la brigade.
«Concours de l’Ecole de guerre»
Puis c’est le tour des mutations obligatoires pour prendre des galons, il rejoint alors la compagnie d’Avranches (Manche) entre 2010 et 2014 où il obtient ses barrettes de chef d’escadron. Commander une compagnie c’est le passage obligé pour être un officier reconnu. Il tente alors le redoutable concours de l’Ecole de guerre qui forme les futurs hauts cadres de l’armée. C’est son seul échec, il sera recalé à l’oral. Mais cela ne l’empêche pas de progresser encore. En 2012, il obtient la médaille du Mérite national.
Et devient officier de liaison au sein du ministère de l’Ecologie. Là, il est chargé de suivre les crimes environnementaux pour le ministre. Il est nommé lieutenant-colonel en 2016. Avant de reprendre une nouvelle affectation sur le terrain dans l’Aude, en 2017, comme officier adjoint de commandement, dans le jargon, il était le « C2 » des gendarmes du département.
Réputé calme, discret, le lieutenant-colonel Beltrame avait organisé fin décembre une simulation d’attaque terroriste dans un centre commercial de Carcassonne. Comme une prémonition. A l’époque, les tirs avaient été simulés avec des paintballs. Mais pas cette fois. « Il est mort dans sa passion », résume Daniel Cerdan, figure emblématique du GIGN. « Il incarne à la perfection la devise de son école : le travail pour loi, l’honneur comme guide », retient ce général.
Source : leparisien.fr / https://bit.ly/2pDMOU
Avant tout, la question qui s’impose : que faut-il faire pour bien faire ? Avec une Europe dirigée en grande partie par des personnes qui sont infligées comme scellées dans leur ignorance de ce que les hommes appellent plus généralement ici-bas la « Spiritualité » et face à laquelle, des usurpateurs chevronnés se revendiquant de l’Etat de Criminel de Guerre, Daesh, usent et ceci contrairement aux propos tenus tout particulièrement en Europe, de la connaissance dans ce domaine. Mais également et bien plus grave, de la foi d’individus. Face auxquels, diverses Autorités Européennes tentent de les faire passer pour des illuminés si ce n’est pas pour des personnes ayant des défaillances psychologiques. Alors que et pendant ce temps là, des adeptes de l’Etat de Criminel de Guerre, Daesh, usent à plein escient d'une réalité dont l’Europe qui se veut pourtant être dirigée pas des Elites ayant la prétention d’être des visionnaires, se refuse toujours et encore en ce 21e siècle d’avoir non seulement le courage. Mais bien plus préjudiciable également, d’avoir l’ouverture d’esprit que notre destiné à tous, ne se termine pas, devant une tombe.
Bien dommage que la France manque davantage de personnes d’un tel courage au sein de son exécutif. D’autant plus que, les prochains attentats sur le sol Français (sans parler des autres pays de la Communauté Européenne) seront encore plus meurtriers et que, rien ne semble pouvoir les arrêter en ce jour du 26 mars 2018 et ceci malgré toutes les formulations d’interpellation déjà transmises aux instances respectives.
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