Tentative d'attentat de la cathédrale Notre-Dame de Paris
La tentative d'attentat de la cathédrale Notre-Dame de Paris est un projet d'attentat terroriste non abouti en septembre 2016, ayant pour cible les abords de la cathédrale Notre-Dame de Paris, au moyen d'une voiture piégée par un commando de femmes djihadistes. |
Prédiction – Confirmation – Numéro°13
Date de confirmation : Samedi, le 3 septembre 2016
Date d’annonciation : Dimanche, le 22 mai 2016
Pays concerné : France
Ville : Paris – Bonbonne de gaz
Nombre de date : 1 date d’annonciation
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Date de confirmation : Samedi, le 3 septembre 2016
Date d’annonciation : Dimanche, le 22 mai 2016
Pays concerné : France
Ville : Paris – Bonbonne de gaz
Nombre de date : 1 date d’annonciation
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
J - 5 mois avant l’attentat …
Sur une base des 37 prédictions qui se sont déjà confirmées à ce jour, par des faits vérifiables comme contrôlables. La tentative d’attentat survenue en date du 3 septembre 2016 sur la ville de Paris, est la 12éme prédiction sur les 37, qui s’est confirmée à ce jour.
PS : Seul à ce jour, il m’a été accordé de révéler publiquement que, 37 prédictions formulées, parmi toutes celles qui se sont déjà confirmées.
Sa mise en place ainsi que, sa formulation furent établies en date du 22 mai 2016, soit 5 mois avant sa confirmation.
– Paris – 4 septembre 2016 –
– Paris – 16 décembre 2016 –
Tentative d'attentat à Notre-Dame de Paris: la jeune femme déférée a été mise en examen et écrouée...
La sous-direction anti-terroriste a interpellé mardi une sixième suspecte, dans l'enquête sur les bonbonnes de gaz retrouvées près de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Présentée aux juges ce vendredi, elle a été mise en examen et écrouée.
Une jeune femme de 23 ans, interpellée mardi à Mantes-la-Jolie par la sous-direction antiterroriste dans le cadre de l'enquête sur les bonbonnes de gaz retrouvées près de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 3 septembre dernier, a été mise en examen ce vendredi du chef d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste (AMT) criminelle et écrouée, selon une source judiciaire à BFMTV.
Soupçonnée d’avoir été en contact avec Inès Madani, l’une des 4 protagonistes de l’affaire, la jeune femme avait été présentée aux juges ce vendredi après-midi. Elle n'est pas fichée, mais connue des services de renseignement.
Source : https://bit.ly/2Ob15mw
Une jeune femme de 23 ans, interpellée mardi à Mantes-la-Jolie par la sous-direction antiterroriste dans le cadre de l'enquête sur les bonbonnes de gaz retrouvées près de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 3 septembre dernier, a été mise en examen ce vendredi du chef d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste (AMT) criminelle et écrouée, selon une source judiciaire à BFMTV.
Soupçonnée d’avoir été en contact avec Inès Madani, l’une des 4 protagonistes de l’affaire, la jeune femme avait été présentée aux juges ce vendredi après-midi. Elle n'est pas fichée, mais connue des services de renseignement.
Source : https://bit.ly/2Ob15mw
– Paris – 10 septembre 2018 –
Bonbonnes de gaz près de Notre-Dame : cinq femmes djihadistes renvoyées aux assises...
Le 4 septembre 2016, une voiture piégée, chargée de six bonbonnes de gaz, avait été retrouvée abandonnée non loin de la cathédrale.
Des juges antiterroristes ont ordonné mercredi le renvoi aux assises du commando de cinq femmes djihadistes démantelé en septembre 2016 après un attentat raté à la voiture piégée aux bonbonnes de gaz près de Notre-Dame de Paris.
Le 4 septembre 2016, une voiture piégée, chargée de six bonbonnes de gaz, avait été retrouvée abandonnée rue de la Bûcherie, non loin de la cathédrale.
Quatre jours plus tard, le 8 septembre 2016, trois femmes de 19, 23 et 39 ans, « radicalisées et fanatisées » préparant « vraisemblablement de nouvelles actions violentes et imminentes » selon le ministre de l’Intérieur de l’époque, Bernard Cazeneuve, sont interpellées à Boussy-Saint-Antoine (Essonne). L’une d’entre elles est grièvement blessée après avoir tenté de poignarder un policier de la DGSI au cours de son arrestation.
Un projet piloté depuis la Syrie...
Parmi les trois interpellées se trouve Inès Madani, l’une des filles du propriétaire de la voiture incriminée. Cette tentative d’attentat aurait été pilotée depuis la Syrie, selon le procureur de la République de Paris, François Molins. Le djihadiste français Rachid Kassim est notamment soupçonné par les enquêteurs d’avoir été en contact avec Madani via l’application de messagerie cryptée Telegram.
«Nous sommes très satisfaits que les juges aient retenu des qualifications criminelles à la hauteur», s'est félicité Me Laurent-Franck Liénard, avocat des deux policiers.
Parmi les proches renvoyés pour non-dénonciation de crime, se trouve aussi un protagoniste bien connu de l'antiterrorisme: Mohamed Lamine Aberouz, mis en examen dans l'enquête sur l'attentat de Magnanville, en tant que complice présumé du tueur Larossi Aballa. Ce dernier avait un temps envisagé de se marier avec Sarah Hervouët, avant de l'abandonner à son ami Aberouz, devenu le guide spirituel de la jeune femme et dont les juges estiment qu'il ne pouvait ignorer ses projets terroristes.
Cette affaire avait mis en lumière le passage en première ligne des femmes dans le djihad armé sur le territoire français. Il s’agit du premier dossier à être renvoyé aux assises parmi la vague d’attentats et de tentatives d’attentats islamistes qui ont fait 246 morts en France depuis 2015.
Source : https://bit.ly/2x0GfPe
Des juges antiterroristes ont ordonné mercredi le renvoi aux assises du commando de cinq femmes djihadistes démantelé en septembre 2016 après un attentat raté à la voiture piégée aux bonbonnes de gaz près de Notre-Dame de Paris.
Le 4 septembre 2016, une voiture piégée, chargée de six bonbonnes de gaz, avait été retrouvée abandonnée rue de la Bûcherie, non loin de la cathédrale.
Quatre jours plus tard, le 8 septembre 2016, trois femmes de 19, 23 et 39 ans, « radicalisées et fanatisées » préparant « vraisemblablement de nouvelles actions violentes et imminentes » selon le ministre de l’Intérieur de l’époque, Bernard Cazeneuve, sont interpellées à Boussy-Saint-Antoine (Essonne). L’une d’entre elles est grièvement blessée après avoir tenté de poignarder un policier de la DGSI au cours de son arrestation.
Un projet piloté depuis la Syrie...
Parmi les trois interpellées se trouve Inès Madani, l’une des filles du propriétaire de la voiture incriminée. Cette tentative d’attentat aurait été pilotée depuis la Syrie, selon le procureur de la République de Paris, François Molins. Le djihadiste français Rachid Kassim est notamment soupçonné par les enquêteurs d’avoir été en contact avec Madani via l’application de messagerie cryptée Telegram.
«Nous sommes très satisfaits que les juges aient retenu des qualifications criminelles à la hauteur», s'est félicité Me Laurent-Franck Liénard, avocat des deux policiers.
Parmi les proches renvoyés pour non-dénonciation de crime, se trouve aussi un protagoniste bien connu de l'antiterrorisme: Mohamed Lamine Aberouz, mis en examen dans l'enquête sur l'attentat de Magnanville, en tant que complice présumé du tueur Larossi Aballa. Ce dernier avait un temps envisagé de se marier avec Sarah Hervouët, avant de l'abandonner à son ami Aberouz, devenu le guide spirituel de la jeune femme et dont les juges estiment qu'il ne pouvait ignorer ses projets terroristes.
Cette affaire avait mis en lumière le passage en première ligne des femmes dans le djihad armé sur le territoire français. Il s’agit du premier dossier à être renvoyé aux assises parmi la vague d’attentats et de tentatives d’attentats islamistes qui ont fait 246 morts en France depuis 2015.
Source : https://bit.ly/2x0GfPe
– Paris – 2 octobre 2019 –
Procès de l’attentat raté près de Notre-Dame : « Son intention était de me donner la mort »...
Le regard triste, Inès Madani se lève et s’exprime avec componction devant la cour d’assises spéciale de Paris. « Je reconnais avoir été menaçante et je voulais juste m’excuser », déclare la jeune femme de 22 ans, mardi 1er octobre, au septième jour de son procès pour « association de malfaiteurs terroriste ».
Dans le box, elle adresse d’abord ses excuses au policier de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) qu’elle a menacé avec un couteau lors de son interpellation, le 8 septembre 2016. Ce dernier s’est porté partie civile et a été auditionné par la cour, sous couvert d’anonymat, par vidéoconférence.
Accusée d’avoir vainement tenté d’incendier, avec sa complice Ornella Gilligmann, un véhicule remplie de six bonbonnes de gaz, dans la nuit du 3 au 4 septembre 2016, rue de la Bûcherie, près de Notre-Dame de Paris, Inès Madani est également mise en examen pour « complicité de tentative d’assassinat et tentative d’assassinat sur agent de la force publique ».
La jeune femme, qui encourt la perpétuité, a été interrogée sur les événements du 8 septembre 2016. Ce jour-là, elle est arrêtée à Boussy-Saint-Antoine (Essonne), près du domicile d’Amel Sakaou. En cavale, Inès Madani a trouvé refuge, durant deux jours, chez cette mère de famille radicalisée et désireuse de rallier la Syrie et l’organisation Etat islamique (EI).
C’est le djihadiste et recruteur Rachid Kassim, annoncé mort en février 2017 par les autorités américaines et grand absent du procès, qui lui a trouvé cette « planque »…
Source : https://bit.ly/2pifEgC
Dans le box, elle adresse d’abord ses excuses au policier de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) qu’elle a menacé avec un couteau lors de son interpellation, le 8 septembre 2016. Ce dernier s’est porté partie civile et a été auditionné par la cour, sous couvert d’anonymat, par vidéoconférence.
Accusée d’avoir vainement tenté d’incendier, avec sa complice Ornella Gilligmann, un véhicule remplie de six bonbonnes de gaz, dans la nuit du 3 au 4 septembre 2016, rue de la Bûcherie, près de Notre-Dame de Paris, Inès Madani est également mise en examen pour « complicité de tentative d’assassinat et tentative d’assassinat sur agent de la force publique ».
La jeune femme, qui encourt la perpétuité, a été interrogée sur les événements du 8 septembre 2016. Ce jour-là, elle est arrêtée à Boussy-Saint-Antoine (Essonne), près du domicile d’Amel Sakaou. En cavale, Inès Madani a trouvé refuge, durant deux jours, chez cette mère de famille radicalisée et désireuse de rallier la Syrie et l’organisation Etat islamique (EI).
C’est le djihadiste et recruteur Rachid Kassim, annoncé mort en février 2017 par les autorités américaines et grand absent du procès, qui lui a trouvé cette « planque »…
Source : https://bit.ly/2pifEgC