L'attaque du 23 avril 2021 à Rambouillet est une attaque terroriste islamiste au couteau perpétrée au commissariat de police de Rambouillet. L'attaquant fait une victime, une adjointe administrative du commissariat, avant d'être abattu...
Prédiction – Confirmation – Numéro°114
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Vendredi, le 23 avril 2021
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2021
Pays concerné : France
Ville : Rambouillet – Commissariat
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Vendredi, le 23 avril 2021
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2021
Pays concerné : France
Ville : Rambouillet – Commissariat
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
« Il n’est pas rare, qu’une prédiction formulée puisse renfermer plusieurs événements ce qui implique, qu’il peut avoir plusieurs confirmations à travers la même prédiction. »
Les confirmations…
« Cliquez sur l’image »
Un incendie s’est déclaré mardi après-midi dans l’église Notre-Dame-du-Rosaire, près de la porte de Vanves. Il n’a fait aucun blessé, mais quelques dégâts...
Prédiction – Confirmation – Numéro°99
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Mardi, le 23 décembre 2020
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2021
Pays concerné : France
Ville : Paris – Eglise de Notre Dame
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Mardi, le 23 décembre 2020
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2021
Pays concerné : France
Ville : Paris – Eglise de Notre Dame
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
« Cliquez sur l’image »
Les autorités danoises et allemandes ont estimé ce vendredi avoir déjoué un possible attentat islamiste après une série d’arrestations dans les deux pays, même si une attaque ne semblait pas imminente...
Prédiction – Confirmation – Numéro°108
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Vendredi, le 12 février 2021
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2020
Pays concerné : Danemark – Allemagne
Ville : Copenhague
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Vendredi, le 12 février 2021
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2020
Pays concerné : Danemark – Allemagne
Ville : Copenhague
Nombre de date : 1 date d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
La justice antiterroriste s'est saisie de l'enquête sur l'attaque menée vendredi à Rambouillet, près de Paris, où un homme a égorgé une fonctionnaire de police dans l'entrée d'un commissariat avant d'être abattu...
« Cliquez sur l’image »
Norvège – Oslo – Samedi, le 25 juin 2022
La fusillade à Oslo désormais traitée comme un «acte de terrorisme islamiste»…
La fusillade à Oslo désormais traitée comme un «acte de terrorisme islamiste»…
Prédiction – Confirmation – Numéro°137
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Samedi, le 25 juin 2022
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2020
Pays concerné : Norvège
Ville : Oslo – Club gay
Nombre de date : 1 dates d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
Prédiction : « Ils vont taper »
Date de confirmation : Samedi, le 25 juin 2022
Date d’annonciation : Mardi, le 1er décembre 2020
Pays concerné : Norvège
Ville : Oslo – Club gay
Nombre de date : 1 dates d’annonciation*
*Date d’annonciation de l’arrivée de l’événement
– Date de Prédiction : Mardi, le 1er décembre 2020 –
L’an 2020, douzième mois, du mois décembre, du premier jour,
Médium – Pascal Weber – Mardi, le 1er décembre 2020
– Mardi, le 1er décembre 2020 –
– Instagram –
Mardi, le 1er décembre 2020
La Confirmation…
– France – Rambouillet – Vendredi, le 23 avril 2021 –
Attaque au couteau à Rambouillet : une agente administrative tuée, le Parquet national antiterroriste se saisit de l’affaire…
L’assaillant a été abattu par balles par un autre agent de police. Le premier ministre et le ministre de l’intérieur se sont rendus dans les Yvelines dans l’après-midi.
Un homme a tué à coups de couteau une agente administrative au commissariat de police de Rambouillet, dans les Yvelines, vendredi 23 avril, avant d’être abattu par balles par un autre agent, ainsi que l’a annoncé le procureur de la République de Versailles. La victime, âgée de 49 ans, a été égorgée.
Selon une source policière, les faits se sont produits vers 14 h 20 dans le sas du commissariat de cette ville de près de 26 000 habitants, située à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Paris. La fonctionnaire administrative, en arrêt cardiorespiratoire, est morte sur place, en dépit de l’intervention des pompiers.
D’après les premiers éléments recueillis par des témoins sur place, l’agresseur, un homme de nationalité tunisienne en situation régulière, aurait été aperçu en train d’effectuer plusieurs passages devant le commissariat, son téléphone à la main. Il aurait ensuite profité de l’entrée de la victime dans le sas de sécurité à double porte de l’hôtel de police pour s’engouffrer à sa suite et attendre que la porte se referme, verrouillant ainsi le dispositif de contrôle électronique de l’entrée.
Motivations inconnues...
L’individu aurait ensuite brandi un couteau, sous les yeux des fonctionnaires installés au poste d’accueil du commissariat, de l’autre côté de la vitre sécurisée du sas, avant de poignarder l’agente administrative. Après avoir déverrouillé la porte du sas, l’un des policiers a ouvert le feu à deux reprises sur l’assaillant. Celui-ci est mort après avoir été touché par les deux tirs du policier.
« Des témoins affirment avoir entendu l’agresseur hurler : “Allahou akbar !” à deux reprises à l’intérieur du sas, mais ils se trouvaient sur la chaussée, à plusieurs mètres de l’endroit », explique également une source sur place. D’après plusieurs sources concordantes, il avait consulté des vidéos de propagande islamiste sur son téléphone juste avant l’attaque.
Le Parquet national antiterroriste (PNAT) s’est saisi des faits et a ouvert une enquête de flagrance des chefs d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste, confiée conjointement à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Sur place, Jean-François Ricard, patron du PNAT, a par la suite expliqué qu’il s’était saisi de cette affaire pour « le déroulement même des faits – qui comprend des éléments de repérage –, (…) la modalité du crime, la personne [qu’était] la victime, mais aussi [pour] les propos tenus par l’auteur au moment de la réalisation des faits ».
Les investigations ne faisant que commencer, les services d’enquête disposent encore de peu d’éléments pour établir la motivation de l’assaillant, inconnu des services spécialisés.
Si le PNAT s’est saisi, moins de trois heures après les faits, c’est en raison d’un faisceau d’éléments récurrents dans les attaques terroristes commises ces dernières années. Le premier d’entre eux est le mode opératoire : une attaque au couteau. Viennent ensuite d’autres éléments inclinant à envisager l’hypothèse terroriste : la cible (les forces de l’ordre), le jour (le vendredi, jour saint des musulmans, souvent choisi pour les attaques terroristes), ainsi que les récits, non confirmés à ce stade, de témoins assurant avoir entendu l’agresseur crier : « Allahou akbar ! » La saisine du PNAT permet surtout aux services spécialisés, comme la DGSI, de déployer rapidement leurs méthodes d’enquête particulières, notamment en matière d’analyse des outils informatiques utilisés par l’auteur de l’attaque.
Un Tunisien de 36 ans...
L’assaillant a été identifié comme étant Jamel G., ressortissant tunisien de 36 ans. Il était inconnu des services de police et des renseignements. Originaire de la région de Sousse, dans l’est de la Tunisie, il était arrivé en France en 2009 et avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié, puis d’une carte de séjour en décembre 2020, valable jusqu’en décembre 2021, selon le PNAT.
En fin de journée, une perquisition était en cours à son domicile, situé « dans un quartier tranquille de Rambouillet », selon une source policière. Trois personnes appartenant à son entourage ont aussi été placées en garde à vue dans la soirée. Une perquisition avait lieu au domicile d’une personne ayant accueilli l’auteur de l’attaque à son arrivée en France en 2009, selon une source proche de l’enquête, confirmant une information du Point.
La victime, âgée de 49 ans et mère de deux enfants mineurs, « travaillait depuis plus de vingt ans au commissariat de Rambouillet », selon une source policière. Prénommée Stéphanie, elle était chargée notamment de la gestion des statistiques relatives aux contraventions. Au moment de son agression, elle venait de s’absenter pour renouveler son disque de stationnement.
Macron : la France ne cédera rien « contre le terrorisme islamiste »
Un homme a tué à coups de couteau une agente administrative au commissariat de police de Rambouillet, dans les Yvelines, vendredi 23 avril, avant d’être abattu par balles par un autre agent, ainsi que l’a annoncé le procureur de la République de Versailles. La victime, âgée de 49 ans, a été égorgée.
Selon une source policière, les faits se sont produits vers 14 h 20 dans le sas du commissariat de cette ville de près de 26 000 habitants, située à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Paris. La fonctionnaire administrative, en arrêt cardiorespiratoire, est morte sur place, en dépit de l’intervention des pompiers.
D’après les premiers éléments recueillis par des témoins sur place, l’agresseur, un homme de nationalité tunisienne en situation régulière, aurait été aperçu en train d’effectuer plusieurs passages devant le commissariat, son téléphone à la main. Il aurait ensuite profité de l’entrée de la victime dans le sas de sécurité à double porte de l’hôtel de police pour s’engouffrer à sa suite et attendre que la porte se referme, verrouillant ainsi le dispositif de contrôle électronique de l’entrée.
Motivations inconnues...
L’individu aurait ensuite brandi un couteau, sous les yeux des fonctionnaires installés au poste d’accueil du commissariat, de l’autre côté de la vitre sécurisée du sas, avant de poignarder l’agente administrative. Après avoir déverrouillé la porte du sas, l’un des policiers a ouvert le feu à deux reprises sur l’assaillant. Celui-ci est mort après avoir été touché par les deux tirs du policier.
« Des témoins affirment avoir entendu l’agresseur hurler : “Allahou akbar !” à deux reprises à l’intérieur du sas, mais ils se trouvaient sur la chaussée, à plusieurs mètres de l’endroit », explique également une source sur place. D’après plusieurs sources concordantes, il avait consulté des vidéos de propagande islamiste sur son téléphone juste avant l’attaque.
Le Parquet national antiterroriste (PNAT) s’est saisi des faits et a ouvert une enquête de flagrance des chefs d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste, confiée conjointement à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Sur place, Jean-François Ricard, patron du PNAT, a par la suite expliqué qu’il s’était saisi de cette affaire pour « le déroulement même des faits – qui comprend des éléments de repérage –, (…) la modalité du crime, la personne [qu’était] la victime, mais aussi [pour] les propos tenus par l’auteur au moment de la réalisation des faits ».
Les investigations ne faisant que commencer, les services d’enquête disposent encore de peu d’éléments pour établir la motivation de l’assaillant, inconnu des services spécialisés.
Si le PNAT s’est saisi, moins de trois heures après les faits, c’est en raison d’un faisceau d’éléments récurrents dans les attaques terroristes commises ces dernières années. Le premier d’entre eux est le mode opératoire : une attaque au couteau. Viennent ensuite d’autres éléments inclinant à envisager l’hypothèse terroriste : la cible (les forces de l’ordre), le jour (le vendredi, jour saint des musulmans, souvent choisi pour les attaques terroristes), ainsi que les récits, non confirmés à ce stade, de témoins assurant avoir entendu l’agresseur crier : « Allahou akbar ! » La saisine du PNAT permet surtout aux services spécialisés, comme la DGSI, de déployer rapidement leurs méthodes d’enquête particulières, notamment en matière d’analyse des outils informatiques utilisés par l’auteur de l’attaque.
Un Tunisien de 36 ans...
L’assaillant a été identifié comme étant Jamel G., ressortissant tunisien de 36 ans. Il était inconnu des services de police et des renseignements. Originaire de la région de Sousse, dans l’est de la Tunisie, il était arrivé en France en 2009 et avait bénéficié en 2019 d’une autorisation exceptionnelle de séjour salarié, puis d’une carte de séjour en décembre 2020, valable jusqu’en décembre 2021, selon le PNAT.
En fin de journée, une perquisition était en cours à son domicile, situé « dans un quartier tranquille de Rambouillet », selon une source policière. Trois personnes appartenant à son entourage ont aussi été placées en garde à vue dans la soirée. Une perquisition avait lieu au domicile d’une personne ayant accueilli l’auteur de l’attaque à son arrivée en France en 2009, selon une source proche de l’enquête, confirmant une information du Point.
La victime, âgée de 49 ans et mère de deux enfants mineurs, « travaillait depuis plus de vingt ans au commissariat de Rambouillet », selon une source policière. Prénommée Stéphanie, elle était chargée notamment de la gestion des statistiques relatives aux contraventions. Au moment de son agression, elle venait de s’absenter pour renouveler son disque de stationnement.
Macron : la France ne cédera rien « contre le terrorisme islamiste »
Jean Castex et Gérald Darmanin lors d’une brève intervention devant la presse, près du commissariat de Rambouillet, vendredi 23 avril. BERTRAND GUAY / AFP
Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, et le premier ministre, Jean Castex, sont arrivés sur les lieux du drame vers 16 h 30. Sur Twitter, le chef du gouvernement a rendu hommage à « une héroïne du quotidien », affirmant le soutien de la nation à ses proches.
Lors d’une brève intervention devant les caméras, Jean Castex a répété « à l’ensemble des Français combien [sa] détermination à lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes [était] intacte ». Il a tenu à rappeler que le département des Yvelines avait déjà été touché par des attaques contre des fonctionnaires, ravivant le souvenir de « l’odieux attentat de Magnanville, en 2016, et, plus récemment, [de] l’assassinat de Samuel Paty ».
Le président de la République a, lui aussi, rendu hommage sur Twitter à la policière, assurant que « la nation est aux côtés de sa famille, de ses collègues et des forces de l’ordre ». Alors que les motivations de l’assaillant restaient inconnues, Emmanuel Macron a assuré que le gouvernement ne cédera rien « contre le terrorisme islamiste ».
Le président de la République a, lui aussi, rendu hommage sur Twitter à la policière, assurant que « la nation est aux côtés de sa famille, de ses collègues et des forces de l’ordre ». Alors que les motivations de l’assaillant restaient inconnues, Emmanuel Macron a assuré que le gouvernement ne cédera rien « contre le terrorisme islamiste ».
La présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, s’est aussi rendue sur place pour condamner l’attaque. « On a voulu frapper un symbole de la France – parce que nos policiers sont le visage de la France – et déstabiliser le pays dans cette ville tranquille », a-t-elle déclaré.
En fin de journée, Gérald Darmanin a demandé aux préfets de « renforcer la vigilance et les mesures de sécurité dans et aux abords des commissariats de police et brigades de gendarmerie, notamment s’agissant des accueils ».
« L’horreur, une fois encore, qui vise et frappe les forces de l’ordre », a réagi le syndicat de police Alliance sur Twitter. Le 3 octobre 2019, dans l’enceinte de la Préfecture de police de Paris, un employé radicalisé avait tué à coups de couteau trois policiers et un agent administratif, avant d’être abattu.
Source : https://urlz.fr/ftQi
En fin de journée, Gérald Darmanin a demandé aux préfets de « renforcer la vigilance et les mesures de sécurité dans et aux abords des commissariats de police et brigades de gendarmerie, notamment s’agissant des accueils ».
« L’horreur, une fois encore, qui vise et frappe les forces de l’ordre », a réagi le syndicat de police Alliance sur Twitter. Le 3 octobre 2019, dans l’enceinte de la Préfecture de police de Paris, un employé radicalisé avait tué à coups de couteau trois policiers et un agent administratif, avant d’être abattu.
Source : https://urlz.fr/ftQi