Préface :
La mort et les hommes, vaste sujet de tout temps, qui suscite toujours et encore des méconnaissances dés plus élémentaires. Alors qu’il se sait déjà depuis la nuit des temps que, si sur un point commun, qui unit bien tous les hommes, est la mort ici-bas de chacun d’entre nous et dont nul ne peut s’y soustraire, et dont le futur des hommes n’apportera que des longévités en dû de l’évolution du niveau de conscience de leurs âmes. Jamais par contre, l’homme ne trouvera une solution à la vie éternelle, même si certains hommes le rêvent du plus profond d’eux-mêmes ici-bas. Ce qui est par contre méconnu est que, si votre naissance ici-bas fut déjà programmée dans l’au-delà avant même que, le processus de votre naissance ne s’engendre par l’acte sexuel de vos parents. La mort quant à elle, fut également déjà planifiée et ceci également avant même votre naissance.
Ainsi, si dans l’au-delà il existe bien deux points communs, dont nulle âme ne peut s’y soustraire est l’incarnation comme la désincarnation. Ces deux expériences de vie, sont écrites pour chacun d’entre nous à l’avance et la mort, votre mort est déjà planifiée comme écrite et ceci, non seulement dans quelle condition elle viendra à vous, et le tout n’est qu’une question de temps.
Mais le jour, l’heure et l’endroit ici-bas sont également trois facteurs déjà également planifiés et de tout ce qui peut être dit, cru, débattu en ce qui concerne « L’écrit du destin d’un homme ». La naissance comme la mort de toute personne ici-bas est écrite avant même qu’une âme, donc vous-même, ne s’incarne ici-bas. Quant à l’arrivée de la mort et du processus qui vous libérera de votre corps, les seuls qui peuvent changer l’heure de votre départ d’ici-bas comme les conditions de votre départ, est Dieu, en vous accordant non seulement une rallonge qui se produit bien plus souvent que les hommes ne peuvent se l’imaginer, de même, de vous accorder d’autres conditions qui engendreront votre désincarnation. Ou et pire, qu’un homme se suicide, seul chemin par lequel il peut raccourcir sa vie ici-bas, mais dont les répercussions pour la personne qui commet un tel acte sont désastreux. Au motif que, le suicide n’apportera non seulement pas un soulagement aux souffrances qui ont engendrées le désir du suicide, mais outre, toute âme qui se suicide, transgresse le processus « naturel » de son départ d’ici-bas et qui lui, l’empêchera de traverser ce monde vers l’au-delà. Âmes ainsi en peine entre nos deux mondes, qui ont le nom « d’âmes errantes ».
Médium – Pascal Weber – 4 mars 2018
Médium – Pascal Weber – 4 mars 2018
L'ADN permettrait de prédire l’heure de notre mort...
D’après une étude publiée dans le journal Annal of neurology, l’existence d’une variation génétique chez un individu permettrait de prédire l’heure de sa mort. Des chercheurs du centre hospitalier de Boston aux Etats-Unis ont analysé les rythmes de sommeil de 1200 personnes âgées en moyenne de plus de 65 ans. Ils ont découvert un gène particulier appelé "Périod 1" qui peut s'exprimer sous deux variantes : avec une base adénine (A) ou avec une base guanine (G). Un sujet peut ainsi présenter trois combinaisons différentes : AA, AG ou GG. D'après leurs recherches, les individus porteurs des génotypes AA ou AG (les plus fréquents) ont tendance à mourir avant 11h alors que les porteurs du génotype GG meurent plutôt avant 18h. La variation du gène a été découverte par hasard (le hasard n’existe pas, illusion de méconnaissance des hommes) par l’équipe américaine qui étudiait le développement de la maladie de Parkinson et de la maladie d’Alzheimer.
Source : Annal of neurology / http://bit.ly/2Fat3OR
Médium – Pascal Weber
D’après une étude publiée dans le journal Annal of neurology, l’existence d’une variation génétique chez un individu permettrait de prédire l’heure de sa mort. Des chercheurs du centre hospitalier de Boston aux Etats-Unis ont analysé les rythmes de sommeil de 1200 personnes âgées en moyenne de plus de 65 ans. Ils ont découvert un gène particulier appelé "Périod 1" qui peut s'exprimer sous deux variantes : avec une base adénine (A) ou avec une base guanine (G). Un sujet peut ainsi présenter trois combinaisons différentes : AA, AG ou GG. D'après leurs recherches, les individus porteurs des génotypes AA ou AG (les plus fréquents) ont tendance à mourir avant 11h alors que les porteurs du génotype GG meurent plutôt avant 18h. La variation du gène a été découverte par hasard (le hasard n’existe pas, illusion de méconnaissance des hommes) par l’équipe américaine qui étudiait le développement de la maladie de Parkinson et de la maladie d’Alzheimer.
Source : Annal of neurology / http://bit.ly/2Fat3OR
Médium – Pascal Weber