[…] D’ailleurs les premiers attentats sur le sol Européen, dont l’Espagne, la France comme l’Allemagne, la Belgique ainsi que, la Suède sont les premiers pays assujettis, outre le fait que, ces attentats seront perpétrés par des Européens […]
Voiture contre la mosquée de Colmar : On a eu beaucoup de chance…
Le conducteur responsable de cet acte violent a été hospitalisé et un drame évité de justesse à Colmar ce samedi soir.
Ce dimanche à Colmar, on a conscience qu'un drame a été évité de peu samedi soir à la Grande mosquée de la ville.
L'homme qui a foncé dans une C4 grise sur le lieu de culte samedi en début de soirée sans faire de blessé, était toujours hospitalisé cette après-midi. Une certitude : à quelques minutes près, son attaque aurait pu faire de nombreuses victimes. « Il est toujours à l'hôpital et vivant », a indiqué la procureur de la République à Colmar, Catherine Sorita-Minard.
Le suspect est un habitant de Colmar, a spécifié la magistrate sans plus de précisions sur son identité ou ses antécédents judiciaires. Selon nos informations, l'« assaillant » a été identifié sous le nom Yacine K. Il serait né en 1980 et serait connu des services de police pour des faits de violences et de conduite sans permis, sa ou ses nationalités restant à déterminer.
La mosquée a rouvert ce midi…
Samedi, peu après 19 heures, l'homme a d'abord détruit des plots en bois situés devant l'enceinte de la Grande Mosquée de Colmar, puis enfoncé le portail avant de projeter délibérément sa voiture contre une des portes de l'édifice, s'encastrant en partie dans le mur. Personne n'a été blessé en dehors du suspect qui s'est lui-même mutilé à l'arme blanche, selon la procureur de Colmar. Ses blessures ont nécessité un transfert à l'urgence à l'hôpital et une intervention chirurgicale.
La mosquée a alors été fermée au public mais a rouvert quelques minutes plus tard pour la prière du soir. Dès samedi soir, des sources policières et Catherine Sorita-Minard avait indiqué que l'homme présentait à première vue des « problèmes psychiatriques ». Le suspect devrait être placé en garde à vue dès sa sortie de l'hôpital.
Dimanche à la mi-journée, le portail métallique défoncé de la mosquée était recouvert d'une bâche bleue, des policiers surveillant l'accès au lieu de culte. Après 13 heures, des fidèles sont arrivés pour prier dans une salle annexe. La prière de l'aube ayant été annulée pour des raisons évidentes.
« On a eu beaucoup de chance, à un quart d'heure près »
L'imam de la Grande Mosquée de Colmar, sur place au moment des faits, a assisté à toute la scène. Il a expliqué à France 3 Alsace être encore « extrêmement choqué ». Heureusement que ce n'était pas au moment de l'accomplissement de la prière, sinon il y aurait eu des morts. Je ne comprends pas les motivations de cet individu. Je pense que c'est un déséquilibré mais en ce moment on voit que les mosquées sont souvent visées. Cela devient très inquiétant » a insisté le religieux. En effet, une demi-heure plus tard, 70 personnes devaient être présentes dans la grande salle pour la prière.
« On a eu beaucoup de chance, à un quart d'heure près, cela aurait pu être un carnage », a aussi expliqué à Naji-Saïd Darir, ancien président de la Grande Mosquée de Colmar. « Les gens sont choqués, car on n'a jamais vu cela à Colmar, et un peu inquiets, mais on essaie de les rassurer », a-t-il également confié.
Source : https://bit.ly/2kuehcF
Le conducteur responsable de cet acte violent a été hospitalisé et un drame évité de justesse à Colmar ce samedi soir.
Ce dimanche à Colmar, on a conscience qu'un drame a été évité de peu samedi soir à la Grande mosquée de la ville.
L'homme qui a foncé dans une C4 grise sur le lieu de culte samedi en début de soirée sans faire de blessé, était toujours hospitalisé cette après-midi. Une certitude : à quelques minutes près, son attaque aurait pu faire de nombreuses victimes. « Il est toujours à l'hôpital et vivant », a indiqué la procureur de la République à Colmar, Catherine Sorita-Minard.
Le suspect est un habitant de Colmar, a spécifié la magistrate sans plus de précisions sur son identité ou ses antécédents judiciaires. Selon nos informations, l'« assaillant » a été identifié sous le nom Yacine K. Il serait né en 1980 et serait connu des services de police pour des faits de violences et de conduite sans permis, sa ou ses nationalités restant à déterminer.
La mosquée a rouvert ce midi…
Samedi, peu après 19 heures, l'homme a d'abord détruit des plots en bois situés devant l'enceinte de la Grande Mosquée de Colmar, puis enfoncé le portail avant de projeter délibérément sa voiture contre une des portes de l'édifice, s'encastrant en partie dans le mur. Personne n'a été blessé en dehors du suspect qui s'est lui-même mutilé à l'arme blanche, selon la procureur de Colmar. Ses blessures ont nécessité un transfert à l'urgence à l'hôpital et une intervention chirurgicale.
La mosquée a alors été fermée au public mais a rouvert quelques minutes plus tard pour la prière du soir. Dès samedi soir, des sources policières et Catherine Sorita-Minard avait indiqué que l'homme présentait à première vue des « problèmes psychiatriques ». Le suspect devrait être placé en garde à vue dès sa sortie de l'hôpital.
Dimanche à la mi-journée, le portail métallique défoncé de la mosquée était recouvert d'une bâche bleue, des policiers surveillant l'accès au lieu de culte. Après 13 heures, des fidèles sont arrivés pour prier dans une salle annexe. La prière de l'aube ayant été annulée pour des raisons évidentes.
« On a eu beaucoup de chance, à un quart d'heure près »
L'imam de la Grande Mosquée de Colmar, sur place au moment des faits, a assisté à toute la scène. Il a expliqué à France 3 Alsace être encore « extrêmement choqué ». Heureusement que ce n'était pas au moment de l'accomplissement de la prière, sinon il y aurait eu des morts. Je ne comprends pas les motivations de cet individu. Je pense que c'est un déséquilibré mais en ce moment on voit que les mosquées sont souvent visées. Cela devient très inquiétant » a insisté le religieux. En effet, une demi-heure plus tard, 70 personnes devaient être présentes dans la grande salle pour la prière.
« On a eu beaucoup de chance, à un quart d'heure près, cela aurait pu être un carnage », a aussi expliqué à Naji-Saïd Darir, ancien président de la Grande Mosquée de Colmar. « Les gens sont choqués, car on n'a jamais vu cela à Colmar, et un peu inquiets, mais on essaie de les rassurer », a-t-il également confié.
Source : https://bit.ly/2kuehcF